En 2016, les Nations unies ont décrété le 11 février Journée internationale des femmes et des filles de science. Cette déclaration est un rappel mondial qu’il est nécessaire d’accroître et d’équilibrer la représentation des femmes et des filles dans le domaine MATIS (mathématiques, arts, technologies, ingénierie, et sciences), à l’échelle planétaire. Malgré les progrès significatifs accomplis en matière de participation des femmes à l’enseignement supérieur, celles-ci restent sous-représentées dans le le milieu scientifique et en particulier aux postes à responsabilité. L’égalité de représentation et l’autonomisation des femmes et des filles sont une contribution essentielle à la croissance économique et à la poursuite des buts et des objectifs associés aux innovations révolutionnaires et à l’amélioration des conditions de vie.
Aujourd’hui, nous célébrons le travail inlassable accompli par toutes ces femmes et filles dont la contribution dans les domaines MATIS ont permis de jeté la base permettant à nos efforts de mieux comprendre la génétique de la maladie de Parkinson.
Au sein du Programme mondial sur la génétique de la maladie de Parkinson (GP2), les femmes occupent des postes à responsabilité dans plusieurs groupes, sont mentors et stagiaires avancées et débutantes. Les droits à l’égalité pour pouvoir participer, débattre, décider, accéder aux financements, à la formation et au mentorat sont reconnus et respectés. Au titre de représentantes du Réseau de formation, nous voulons saisir l’occasion de cette journée spéciale pour reconnaître et rendre hommage aux femmes qui participent au programme pour leur contribution et leur engagement à l’égard des objectifs du GP2, et par la même à l’égard des connaissances sur la génétique de la maladie de Parkinson. Sans leur détermination, nous n’aurions pu parcourir un tel chemin.
Au cours des dernières années, de grands progrès ont été accomplis dans le domaine de l’égalité des genres. Nombreux sont les lieux où les femmes ont accès aux études et aux opportunités au même titre que les hommes mais, il reste encore beaucoup à faire. Le rôle des femmes dans la société, au sein de l’université et dans l’entreprise doit continué de progresser. Il est important que le milieu scientifique continue de reconnaître, de soutenir et d’encourager les femmes à se joindre en plus grand nombre aux initiatives mondiales afin de faire progresser la recherche. Le GP2 apparaît comme un exemple de plateforme permettant de concrétiser cet objectif.
Le GP2 n’a de cesse d’offrir aux chercheurs la possibilité d’améliorer leurs connaissances dans le domaine de la recherche sur la génétique de la maladie de Parkinson. Consultez les prochainesopportunités proposées ou nos formations , sous-titrées dans plus de 100 langues !