Groupe de travail sur la MP prodromique
About the Groupe de travail sur la MP prodromique
Notre objectif est de réunir des informations cliniques et des échantillons biologiques provenant de plus de 20 000 sujets atteints de la maladie de Parkinson prodromique ou à risque, ainsi que de sujets sains issus des mêmes cohortes, pour pouvoir effectuer des analyses comparatives. Grâce à cette initiative, il sera possible de recueillir des données et des échantillons auprès de cohortes établies et de soutenir la création ou l’élargissement de recueils, en particulier dans les régions du monde où la maladie en phrase prodromique a été peu étudiée. Sources de données qui présentent un intérêt particulier : Sujets atteints de trouble du comportement en sommeil paradoxal (TCSP) Sujets atteints d’hyposmie (perte partielle de l’odorat) Sujets ne présentant pas de pathologie mais porteurs de variants génétiques dans les gènes pertinents dans la MP (LRRK2, GBA1) ou susceptibles de présenter un risque génétique élevé Sujets ayant subi un test d’amplification des graines d’α-synucléine (SAA) Sujets atteints de dysautonomie pure Sujets identifiés par une association de facteurs de risque tels que les critères de détection de la MP prodromique du MDS ou l’algorithme PREDICT-PD Nous avons pour ambition de réunir les informations génétiques et cliniques issues de ces individus et cohortes à des fins d’analyse des phases prodromique à risque et précoce de la maladie de Parkinson. Par exemple, nous espérons mieux connaître les facteurs génétiques qui influencent les troubles du sommeil paradoxal et l’hyposmie, ainsi que les facteurs qui prédisposent une personne à la maladie de Parkinson ou à d’autres synucléinopathies.
Étapes
En cours
- Envoi de 10 000 échantillons (cumulés) issus de cohortes de sujets en phase prodromique pour génotypage, d’ici fin 2025
- Obtention de données cliniques portant sur 5000 échantillons d’ici fin 2025
- Lancement de 3 nouveaux référentiels en 2025 (de préférence en Afrique, en Asie et en Amérique latine)
- D’ici 2028, 20 000 échantillons génotypés